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25 November 2020
par University of Exeter
Living at low gravity affects cells at the genetic level, selon une étude sur les vers dans l’espace
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L’analyse génétique des vers Caenorhabditis elegans sur la Station spatiale internationale a montré des “changements subtils” dans environ 1 000 Genoa
The study, menée par l’Université d’Exeter et le NASA GeneLab, nous aide à comprendre pourquoi les organismes vivants, y compris les humains, souffrent d’un déclin physique dans l’espace
“Nous avons examiné les niveaux de chaque gène dans le génome des vers et identifié un modèle clair de changement génétique”, a déclaré le Dr Timothy Etheridge, de l’Université d’Exeter
“Cela nous donne également des objectifs thérapeutiques en termes de réduction de ces effets sur la santé, qui constituent actuellement un obstacle majeur à l’exploration de l’espace lointain”
L’étude a exposé des vers à une faible gravité sur la Station spatiale internationale et à une gravité élevée dans des centrifugeuses
Les tests à haute gravité ont donné aux chercheurs plus de données sur les impacts génétiques de la gravité et leur ont permis de rechercher des traitements possibles utilisant la haute gravité dans l’espace
“Une étape cruciale pour surmonter toute condition physiologique consiste d’abord à comprendre son mécanisme moléculaire sous-jacent”, a déclaré l’auteur principal Craig Willis, de l’Université d’Exeter.
“Nous avons identifié des gènes ayant des rôles dans la fonction neuronale et le métabolisme cellulaire qui sont affectés par les changements gravitationnels
“Ces vers présentent des signatures moléculaires et des caractéristiques physiologiques qui reflètent étroitement celles observées chez l’homme. Nos résultats devraient donc fournir les bases d’une meilleure compréhension du déclin de la santé induit par les vols spatiaux chez les mammifères et, in the long term, les humains.”
Dr Etheridge a ajouté: “Cette étude met en évidence le rôle actuel des scientifiques d’Europe et du Royaume-Uni dans la recherche en sciences de la vie des vols spatiaux.”
The article, publié dans la revue iScience, est intitulé: “La transcriptomique comparative identifie les adaptations neuronales et métaboliques à l’hypergravité et à la microgravité chez Caenorhabditis elegans”
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Gravité, génétique, space, research, cell, biologie moléculaire
News – FR – Spaceworm experiment reveals gravity affects genes
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Source: https://phys.org/news/2020-11-space-worms-reveals-gravity-affects.html